What's happening?[PV: Antho]

[Pas grave. En fait cette faço nd'ecrire me vient d'un forum ou je joue un personnage avec une doublep ersonnalité ><]

Le jeune homme qui vient d'entrer a l'air consterné . . . Pas très etonnant avec ce fichu gateau qui difusent son odeur par la fenêtre ouverte. Eh bah, si ça attire deja du monde la première semaine, a la fin de l'année elle allait devoir demenager pour nuisance nasale.

*Fichu voisinage*

Judith ne pouvait pas ignorer le jeune homme plus longtemps. Elle l'examina, suivant d'un oeil sa recette et de l'autre son visiteur. Etudiant, playboy, habillé pour seduire.Tout a fait le genre de petit curieux qui ne se gêne pas pour deranger de parfait inconnus.Pas de chance pour lui, Jud' deteste les malpolis. Il allait en subir les consequences. Mais d'abord, il fallait trouver de quoi lui clouer le bec, sinon c'etait elle qui allait paraitre ridicule.

*Voyons. Comment il a pu me trouver?Pas a l'odeur, les etudiant ont tous le nez boucher pas l'alcool et la cigarette.Hum. . . peut-être par la fenetre?Surement. Alors pourquoi il me demandes si ça vient de chez moi alors qu'il le sait pertinement?*

Judith avait trouver sa replique. Elle plaça son gateau dans le four et se prepara a cuisiner le jeune homme. Elle se retourna , face a lui et lui jeta le regard le plus effrayant qu'elle avait en stock.Elle etait prete et plus encore.

Bon, maintenant que j'ai finis, à ton tour. Oui, cette odeur vient de chez moi, ça m'etonne que tu me le demande, puisque quand tu m'epiais , tu a bien du voire que je cuisinais, ou alors tu es encore plus debile que tout les etudiant que je rencontre en cours. Bon, mainteant je te laisse dix minute pour t'expliquer et après je me remettrais a mon gateau, d'accord?

Judith etait satisfaite de sa tirade. C'est vrai qu'un prof grand en train de vous engueuler ça vous fait toujours un petit quelque chose. Elle indiqua une chaise au jeune homme, et pris quand a elle le partit de rester debout, moyen sur pour faire pression au pauvre garçon. Quelle cruauté! La gentille jeune femme au gateau bizarre, elle est passée ou? Metamorphosée en femme chacale.il ne lui manquai plus que les griffes et elle se jetait sur l'homme pour le dechiqueter et l'ajouter dans sa gelée.

*La, c'est sure, il n'y aura que moi pour aimer.*

Ce gosse etait decidement plus con qu'il en avait l'air. Ce n'etait pas en tutoyant Judith ni en insinuant qu'elle a raté son gateau qu'on l'impresionne. Surtout quand on sait qu'il doit minimum cuire deux heures et qu'elle avait parfaitement réglé le thermostat. Il s'attendait peut-être a ce qu'elle lui saute au coup alors que a) il derange une prof b) il se permet de se plaindre alors qu'il n'habite même pas l'immeuble. Comment elle le sait? Ses clées accrochée au porte clé du campus. Nan mais franchement, un malpolis comme lui ne merite pas qu'elle le poursuive.

*Gamin.com*

Mais, attendez! Judith sentait aussi l'odeur de brulé . . . si ça ne venait pas d'elle , c'etait forcement chez les autres. Elle renifla plus profondement. Ca venait d'en haut. Voyons, qui habite au dessus? Elle avait du mal a s'en souvenir, elle n'entretenait pas de bonnes relations avec ses voisins. Ah! Mais si, ça lui revenait. C'etait la gentille grand-mère qui l'avait invitée a prendre le thé poru lui souhaiter la bienvenue. Judith et elle avait parlé des autres , de la vie, des problèmes et tout ça. Ensuite, elles avaient ragrdé "Morse, enqueteur".

*Ce pourrait-il qu'elle se soit endormie devant alors qu'elle avait quelque chose sur le feu?*

Merde, merde! La galère. A elle seule elle ne pourrait pas a la fois telephoner au pompiers et aider la mamie et ne pas paniquer a son tour. En plus les residents etaient a une fête de je-sais-pas-quoi ou en vacance pour la plupart. Elle commençait a paniquer serieusement. En verité, elle luttait contre une idée.Bon, il fallait faire des sacrifices pour sauver cette brave femme . . .

Ecoute, cette odeur de brulé vient d'en haut. A tout les coups c'est la grand-mère du haut qui a laissé un truc près de son tas de journaux. Si on n'agit pas très vite, cette femme vas mourir. . . et moi aussi. Suis-moi!

Judith avait peur. Parce que finalement elle risquait bel et bien la mort. Elle etait au 40ème , et descendre sans cette femme serait equivalent a la condamner. Elle se mit a courir, attrapant le jeuen homme par le bras. Il n'avait pas l'air de see rendre compte du problème. Mondieu!

[Tiré par les cheveux, mais je voulais mettre de l'action]

Judith sentait la panique gagner du terrain. On se croit si vite en securité, mais quand tout s'effondre. . . il faut s'attendre au pire. Enfin, malgrès ses sentiments, Judith arrivait a garder son air tranquille et glaciale et a reflechir calmement. Elle n'allait pas laisser la situation lui echapper! Elle est persuadée qu'il y a une solution. Malheureusement, le temps presse.

*Voyons. M.olson a un fixe, un portable et . .. ah oui! Le portable de son petit-fil. Donc, trois portable? Un bruit assez fort pour la faire reagir. Mais si elle panique? Trouver un moyen de la sortir. . . Pas la porte,non. La fenetre? Elle est toujours ouverte. Mais, trop haut pour mois. Une grue pour la faire descendre . . . J'ai une amie qui a une grue? Hum. Donna Smith me doit un service. Donc, D se pointe avec sa grue. Mais elle est ou ? Voyons. . . affectée au chantier d'en face. C'est bon .*

Les pensées allaient a cent a l'heure dans la tête de Judith. Jamais elle n'avait du faire face a une vraie situation dangereuse. Elle eu a peine le temps de rendre compte avec plaisir qu'elle pouvait gerer le stress qu'elle etait deja en train de mettre ses idées en application. Le gamin avait surement un portable, donc c'etait realisable. Mais quand a la deuxième partie de son plan , c'etait plus douteux. Que se passerait-il si elle n'etait pas joignable? Elle ne preferait pas y penser . Judith implorait sa chance en silence.

*Let's go!*

Elle se saisit de ses deux portables, qu'elle gardait heureusement sur elle, se jetta sur celui du gamin (il depassait de sa poche), et commenca a saisir les numeros. Sur ses portables, elle retrouva les numeros dans sa listes des "recents", mais elle eu beaucoup de mal a utiliser celui qu'elel avait pris au jeune homme. Quand elle eu finit, trois sonneries retentirent , en provenance de l'appartement de M.olson . On entendit un grand cri d'effroi. La première partie du plan avait marché, dieu merci. Qu'aurait-elle fait si ele avait été sur vibreur! La chance lui souriait.

Gardez votre calme madame olson, les secours arrivent!

En elle-même, Judith savait que la pauvre dame ne pourrait pas garder son calme. C'etait si dure dans au quotidien de faire confiance a ses proches, alors lors d'une catastrophe! Judith ne voulait plus la faire patienter. Elle se depecha de taper le numero des pompiers sur le portable de l'homme, et de Donna Smith sur le sien. Avec empressement, elle rendit son portable a l'homme en lui donnant brièvement l'adresse de l'immeuble pendant qu'elle s'occupait de son ami avec autant de delicatesse que possible.

Judith : Donna, il y a un problème au dernier etage de chez moi. Tu peux venir?Ne coupe pas.
Donna: Juw! J'arrive de suite. . . je tourne . . . Merde! Il y a un max de fumée qui sort de la fenetre du dernier etage.Je m'occupe de ton amie direct.

Elle entendit quelques "putain!" ettoufés, puis raccorcha. Elle se sentait deja mieux. Donna etait une fille bien , et le type qui l'aidait ne devait pas etre nul au point de pas savoir telephoner a la police. Pour l'instant, elle gerait la situation. Et puis les policiers etaient a deux rues. Rien ne pouvait plus l'inquieter. Elle s'assit par terre , et pendant quelque secondes, essaya de recuperer de ce qu'elle venait de faire.Elle psalmodiait, tout doucement, comme essouflée :

Tout pour que ça n'ait pas été vain . . .