Deprime = bonbon[PV: candice]

On etait mercredi.Judith s'etait levée, pimpante, toute contente du fait qu'il n'y avait pas de cours d'histoire de la mode ce jour la. Toujours aussi gaie, elle s'etait preparé des pancakes pour le petit dejeuné, et les avait arrosé de sirop d'erable.Ensuite, elle avait pris un long bain très chaud, avec des huiles essentielles et tout le bazar, pour se detendre. Puis, elle avait enfilé une jolie robe rose avec des petites fleur orange dessus, et etait partis faire un tours en ville.Elle s'etait d'abord arretée au magasin de fournitures scolaire, pour s'acheter des pochettes plastiques pour ses classeurs.Elle en avait pris des roses et des bleues. Après ça, elle etait allé au centre commercial. Elle avait vagabondé un peu partout, et s'etait arreté au coin manucure pour se faire le ongles.Elle etait en train de se faire poser des paillettes quand elle reçut un coup de file.Sur son portable privé.

JUDITH: Allo, ici Judith Blackbag, a qui ai-je l'honneur?
INTERLOCUTEUR: C'est Kaïta, la future femme de Connor. Je vosu appelle parce que j'ai une mauvaise nouvelle.Vous ne pourrez pas assisté a notre mariage.
JUDITH: Pourtant, j'ai retourné le carton d'invitation, en ecrivant bien a côté de la case oui que j'avais prealablement coché " Avec joie".
INTERLOCUTEUR: Connor recevra une lettre avec un non coché a grand coup de crayon noir. Me suis-je bien faite Comprendre?
JUDITH: Très bien. J'espère pour vous que vous êtes un possession du portable d'accès a la famille de Connor. Sur ce, gb.

Judith etait degoutée. Elle avait super-bien commencé sa journée . . . et une vielle peau de vache venait de la lui gachée. Elle esperait de tout coeur que Connor virerait cette vielle vache interessée du domaine familial.judith se dirigea vers la boutique de bonbons la plus proche. Elle se souvenait de ce que lui disait son frère "Quand je vais bien, j'achète des vetements.Quand je suis fatigué, j'achete a manger. Mais que je deprime, passage obligé a la confiserie".Connor avait raison. Dès qu'elle eut poussé la porte, la tristesse s'envola. Tout ses bonbons, dans des rayonnages aux couleur pastels reconfortantes , c'etait si joyeux! Elle pris un sachet et commença a le remplir joyeusement.

*Agent violet, schtroumpf,coca, pimousse, mamie bubble, spidermans, tagada, crocodile, frites, et des tas de bonbons nouevaux pour se donner l'ai moderne. j'ai tout!*

[i]C'est donc un gros sahcte au bras qu'elle se dirigea vers la caisse.Elle flanait en attendant son tour, quand soudain elle entendit la vendeuse pousser une exclamation "Vous allez vraiment manger tout ça?". La vendeuse aprlait a la personne juste devant elle... Elle jeta un coup d'oiel au paquet. C'est vrai, il etait enorme!

La déprime total. Pourtant elle ne savait rien. Rien de ce qu’elle avait. Retour à la case départ.
Oui retour à son enfance, où elle ne savait rien d’elle, où elle se demandait qui était- elle vraiment. Crise d’adolescence où elle cherchait partout ses vrais parents. Où elle cherchait ses parents qui l'avait abandonnées parce qu’ils avaient 16 ans. Mais ça elle n’en sait rien, elle n’a aucun idée de la raison pour laquelle ils l’ont abandonné…
Et elle ne le saura sûrement jamais. Mais là ce n’était pas ça qui la déprimait, c’était autre chose. Et là elle savait, elle allait découvrir la cause de cette déprime. Oui on peut trouver spécial de déprimer sans savoir pourquoi. Mais au fond d’elle, elle savait pourquoi mais ne voulait pas ce l’avouer. Enfin bref. Ou va-t-on en cas de déprime ? Au magasin de bonbons! Il y en a ce qui aimait là c’était le magasins en lui-même, les couleurs, l’odeur c’était le paradis sur terre. Elle, ce qu’elle aimait là- dedans c’était…les bonbons! Mmm elle en frissonnait encore, quand elle les voyait cela lui mettait l’eau à la bouche. Elle, elle n’était pas là pour admiré ces adorables sucreries mais pour les manger! Et quand elle est au stade de la déprime total, elle en mange une tonne tout en se morfondant devant la tv. Elle ne connaissait pas son stade, mais la déprime peut s’empirer au fil des heures, il suffit qu’elle trébuche pour encore plus râler, déprimer… Il suffit de quelques petites choses pour que ça s’empire. Et puis niveau bonbons, elle pouvait se le permettre. Elle n’était pas grosse et un peu de sucreries ne la ferait pas grand mal. Enfin un « peu » façon de parler…
En entrant dans le magasin, c’était comme un rêve pour elle, et ne put s’empêcher de « dévaliser » la boutique. Elle en prit de chaque sortes, et pas qu’un! Un rêve qui devenait réalité en quelques sortes…
Quoi qu’il en soit en finissant sa ronde, elle revenu avec un énorme sac de bonbons à la caisse. Si ça ce n’allait pas faire de sa déprime un bonheur! La caissière d’ailleurs lui fit la remarque, ce que d’ailleurs Candice n’apprécia guère. Elle pouvait être contente ça lui ramenait de l’argent! Bon c’est vrai c’était généreux de d’abord pensé à son foi….

-Ah heu… C’est la réserve pour l’année!

Tous ça elle le dit en souriant gentiment. Même si c’était faux. Archi faux. Elle n’était pas du genre à mentir mais elle n’allait pas lui raconter sa vie à la dame non plu. Elle savait que si elle disait que c’était un coup de déprime, elle commencerai avec ses « O mais qu’est-ce qui va pas ma puce ? ».
Donc elle préféra dire que c’était sa réserve. En même temps en y réfléchissant bien elle n’allait peut-être pas tout mangé et laisser le reste pour la prochaine fois. C’est vrai que c’était beaucoup même trop.
Elle paya la vendeuse ce qui d’ailleurs ne lui revint pas bon marché. En prenant son paquet elle se retourna et vit, quelqu’un qu’elle connaissait, enfin qu’elle avait déjà croisé. Une prof de l’université. Candice connaissait tout les professeurs là-bas. En fin en tout cas de vue. Candice n’oublia pas sa politesse.

-A! Bonjour Madame Blackbag!

-Bonjour Candice.

Judith se retrouva nez-à-nez avec Candice Burrow,Barrow ou Durrow, elle ne se souvenait plus bien , et à son enorme paquet de bonbons.Elle pensait qu'elle avait exagéré avec son paquet a elle, mais Candice battait tout les records. Elle avait un vrai sachet de competition, avec de quoi prendre 2 ou 3 kilos.Des schtroumptfs, des araignée, des pastilles . . . elle devait vouloir organiser une super fête. Oui, se convaincait Judith, elle allait inviter toute l'université a se ruer dans sa residence chic de beta delta, avec des tas de chips et de trucs gras a manger. L'hipothèse de Judith aurait surement tenu la route si elle n'avait pas finit par remarquer un petit detail. L'elegant gilet d'homme , du tout dernier chic, de Candice, etait très nuancé.Le col etait trempé. Ce qui ne pouvait signifier que 2 choses selon Judith : soit, elle a pleuré amerement toute la matiné, soi elle avait la tête ailleur quand elle a lancé le sèche linge. Oui, maintenant c'etait evident, la pauvre fille allait mal.Peut-être elle aussi avait-elle des problème de famille, des parent envahissants, des petits amis infidèles et tutti quanti.

*Encore une belle Lady Larmoyante. *

En bonne membre du corps enseignant de l'université, elle ne devait pas s'en meler. Sauf que voila, toute les Blackbag Esseulées ont un coeur. Ou ont appris a en avoir grace a leur charmante tante , ou a toutes ses cousines si douées pour s'occuper des detresses des autres. En effet, Epistolaire O'Konnor, une cousine lointaine au nom ridicule s'occupait du courrier du coeur du Mail. Ele etait payée un fortune pour quelque petits mots vaseux . . . mais passons.Donc, Judith se devait de s'occuper de Candice.Mais sans en avoir l'air, evidemment. Elle se lança.

-Tu es deprimée ou tu organises la fête du siècle? D'ailleur, pour ta fete, il vas falloir secher correctement ta veste.

Aucun doute la dessus, elle avait été glaciale.Mais on amadouera jamais des etudiants avec quelques phrase suintant l'ennui et la debilattitude.

» Dans la rue [pv: Candice Burrow]